Vendredi le 14 mai dernier, la classe d’art dramatique ainsi que celle de scénographie sommes allées voir la pièce Et Vian! Dans la gueule. Je n’ai pas vraiment apprécié et je vais expliquer pourquoi dans des prochains paragraphes.
Premièrement, je n’ai pas aimé le fait que cette pièce soit un collage de plusieurs œuvres de Boris Vian, car le spectacle avait des longueurs. Bien que ce soit un texte absurde, je n’ai pas immédiatement fait le lien avec ce genre théâtral. Avec un peu de recul, je suis capable de comprendre que c’est le fait de faire la guerre et tout ce qui l’entoure, mais sur le coup, je ne comprenais pas. Tant qu’à la scénographie, je n’ai qu’un mot : ordinaire. Bien sûr, il y avait une porte pour qu’on remarque l’entrée des personnages, mais elle n’était pas très belle…Cependant, j’ai bien aimé le fait qu’il n’y ait qu’une table comme élément de décors. Les chapeaux avec le drapeau du pays étaient aussi une bonne idée. Ensuite, à part la drôle de dame qui ne finissait jamais sa chanson, il n’y avait pas beaucoup de musique, sinon je ne l’ai pas remarquée tant je m’ennuyais. Comme points plus positif, les scènes de groupes étaient exceptionnelles, car elles captaient vraiment l’attention du public, contrairement au dialogue sans intérêts qu’avaient les personnages. Je dois aussi avouer que les comédiens étaient très talentueux. Je n’avais pas l’impression de voir des comédiens qui interprétaient, j’avais l’impression de voir des généraux qui discutaient. Leur articulation était, quant à elle, impeccable. Le type de jeu choisi était plutôt réaliste, si on tient compte que c’est de l’absurde, bien sûr, et je crois qu’il était bien adapté. Par contre, j’ai trouvé bien dommage de voir le texte de Marc Béland sur scène, bien que je comprenne que ce soit une très grosse tâche que d’apprendre un texte si long en si peu de temps.
Par la suite, quand j’y réfléchis comme il faut, je dois avouer que cette pièce est représentative du théâtre de l’absurde. Je crois qu’elle l’est parce, en premier, on ne comprend pas, mais par après, ça fait réfléchir. Dans toute cette mise en scène, tout de même sérieuse, il y avait des éléments tout à fait absurdes, comme par exemple les bas verts. La dame qui chantait sans arrêts entre les scènes représentait les répétitions. Le texte lui-même représentait l’absurde, car il dépeignait la guerre comme un jeu. C’était comme si on se sentait obligé de faire la guerre, même s’il n’y a aucune raisons apparentes de la faire.
Finalement, j’ai été un peu déçue par cette pièce, surtout à cause des longueurs, des dialogues sans intérêts et des décors plutôt limités. Il faut tout de même dire qu’il y avait des points forts, comme les scènes de groupe. Je conseille tout de même aux adeptes de Boris Vian d’aller voir cette pièce à ce magnifique théâtre qu’est le Théâtre du Nouveau Monde.
Premièrement, je n’ai pas aimé le fait que cette pièce soit un collage de plusieurs œuvres de Boris Vian, car le spectacle avait des longueurs. Bien que ce soit un texte absurde, je n’ai pas immédiatement fait le lien avec ce genre théâtral. Avec un peu de recul, je suis capable de comprendre que c’est le fait de faire la guerre et tout ce qui l’entoure, mais sur le coup, je ne comprenais pas. Tant qu’à la scénographie, je n’ai qu’un mot : ordinaire. Bien sûr, il y avait une porte pour qu’on remarque l’entrée des personnages, mais elle n’était pas très belle…Cependant, j’ai bien aimé le fait qu’il n’y ait qu’une table comme élément de décors. Les chapeaux avec le drapeau du pays étaient aussi une bonne idée. Ensuite, à part la drôle de dame qui ne finissait jamais sa chanson, il n’y avait pas beaucoup de musique, sinon je ne l’ai pas remarquée tant je m’ennuyais. Comme points plus positif, les scènes de groupes étaient exceptionnelles, car elles captaient vraiment l’attention du public, contrairement au dialogue sans intérêts qu’avaient les personnages. Je dois aussi avouer que les comédiens étaient très talentueux. Je n’avais pas l’impression de voir des comédiens qui interprétaient, j’avais l’impression de voir des généraux qui discutaient. Leur articulation était, quant à elle, impeccable. Le type de jeu choisi était plutôt réaliste, si on tient compte que c’est de l’absurde, bien sûr, et je crois qu’il était bien adapté. Par contre, j’ai trouvé bien dommage de voir le texte de Marc Béland sur scène, bien que je comprenne que ce soit une très grosse tâche que d’apprendre un texte si long en si peu de temps.
Par la suite, quand j’y réfléchis comme il faut, je dois avouer que cette pièce est représentative du théâtre de l’absurde. Je crois qu’elle l’est parce, en premier, on ne comprend pas, mais par après, ça fait réfléchir. Dans toute cette mise en scène, tout de même sérieuse, il y avait des éléments tout à fait absurdes, comme par exemple les bas verts. La dame qui chantait sans arrêts entre les scènes représentait les répétitions. Le texte lui-même représentait l’absurde, car il dépeignait la guerre comme un jeu. C’était comme si on se sentait obligé de faire la guerre, même s’il n’y a aucune raisons apparentes de la faire.
Finalement, j’ai été un peu déçue par cette pièce, surtout à cause des longueurs, des dialogues sans intérêts et des décors plutôt limités. Il faut tout de même dire qu’il y avait des points forts, comme les scènes de groupe. Je conseille tout de même aux adeptes de Boris Vian d’aller voir cette pièce à ce magnifique théâtre qu’est le Théâtre du Nouveau Monde.